Auteur : Kaiu Shirai / Posuka Demisu
Édition : Kazé
Pages : 192
Note : 4 / 5
Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
Avis de Cyrlight
The Promised Neverland est un manga dont le premier tome se déroule dans un orphelinat à l’allure bienveillante, mais qui cache en réalité un très noir secret, comme finiront par le découvrir Emma et Norman, deux des protagonistes.
J’avais beaucoup entendu parler de cette série, et toujours en termes élogieux, si bien que cela m’a incitée à franchir le pas. Eh bien, je dois dire qu’elle est à la hauteur de sa réputation. Ce n’est pas un coup de cœur, mais cela n’en demeure pas moins une excellente lecture.
L’intrigue est assez déroutante, de par la façon dont elle est amenée. Au début, tout semble aller pour le mieux dans le meilleur du monde. Les enfants sont certes orphelins, mais la femme, « Maman », qui s’occupe d’eux a l’air adorable, à l’instar de tous ces joyeux bambins, dont le quotidien est essentiellement composé de jeux et de rires.
Le ton du manga change néanmoins brutalement, et ce de la plus glauque des manières. Tout commence avec un mignon petit lapin en peluche et débouche sur une scène sanguinolente qui, je dois bien l’avouer, m’a sur l’instant glacé le sang, tant j’étais loin de m’attendre à une telle horreur.
Les héros n’ont alors plus qu’une idée en tête : fuir cet orphelinat dont le cadre idyllique n’est qu’un leurre pour cacher sa redoutable et effroyable fonction. C’est le début d’une course à la liberté et à la survie, qui soulève son lot d’inquiétudes et de questionnements.
Il faudra hélas attendre le prochain tome pour en apprendre davantage, puisque celui-ci se conclut par l’arrivée d’un nouveau personnage, bien décidé à mettre des bâtons dans les roues de tout le monde, en particulier des protagonistes, au demeurant très intéressants à suivre.
C’est avec plaisir et impatience que je me plongerai dans la suite des sinistres aventures d’Emma, Norman et Ray, ayant d’ores et déjà les tomes 2 et 3 dans ma pile à lire.
J’avais beaucoup entendu parler de cette série, et toujours en termes élogieux, si bien que cela m’a incitée à franchir le pas. Eh bien, je dois dire qu’elle est à la hauteur de sa réputation. Ce n’est pas un coup de cœur, mais cela n’en demeure pas moins une excellente lecture.
L’intrigue est assez déroutante, de par la façon dont elle est amenée. Au début, tout semble aller pour le mieux dans le meilleur du monde. Les enfants sont certes orphelins, mais la femme, « Maman », qui s’occupe d’eux a l’air adorable, à l’instar de tous ces joyeux bambins, dont le quotidien est essentiellement composé de jeux et de rires.
Le ton du manga change néanmoins brutalement, et ce de la plus glauque des manières. Tout commence avec un mignon petit lapin en peluche et débouche sur une scène sanguinolente qui, je dois bien l’avouer, m’a sur l’instant glacé le sang, tant j’étais loin de m’attendre à une telle horreur.
Les héros n’ont alors plus qu’une idée en tête : fuir cet orphelinat dont le cadre idyllique n’est qu’un leurre pour cacher sa redoutable et effroyable fonction. C’est le début d’une course à la liberté et à la survie, qui soulève son lot d’inquiétudes et de questionnements.
Il faudra hélas attendre le prochain tome pour en apprendre davantage, puisque celui-ci se conclut par l’arrivée d’un nouveau personnage, bien décidé à mettre des bâtons dans les roues de tout le monde, en particulier des protagonistes, au demeurant très intéressants à suivre.
C’est avec plaisir et impatience que je me plongerai dans la suite des sinistres aventures d’Emma, Norman et Ray, ayant d’ores et déjà les tomes 2 et 3 dans ma pile à lire.