Auteur : Yana Toboso
Édition : Kana
Pages : 184
Note : 2 / 5
Sébastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d'une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d'érudition, d'éducation, d'art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature... Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable ?!
Avis de Cyrlight
Black Butler est un manga shonen ayant pour personnage principal Sebastian, un majordome, le seul employé compétent du jeune Ciel Phantomhive. D’abord présenté comme un serviteur dévoué et surqualifié, il dévoile rapidement un visage bien différent.
Plusieurs personnes m’ont dit un immense bien de ce manga, mais hélas pour moi, le charme n’a pas opéré. Les dessins sont pourtant très beaux, même s’ils sont parfois un peu caricaturaux (notamment au niveau des domestiques), et si le côté victorien m’a séduite au premier coup d’œil, les anachronismes m’ont laissé perplexe. (Entre les consoles de jeux et les portables, il y a matière à se poser des questions...)
J’ai également un avis mitigé sur les personnages, et sur le scénario en lui-même. Commençons par les personnages. Si Ciel et Sebastian sont intéressants à suivre, ce n’est pas le cas des trois domestiques qui sont tout bonnement inutiles. Je suppose qu’ils sont censés être là pour le comique, mais leur degré d’incompétence est tel que je les ai vite trouvés beaucoup plus lourds que drôles.
Le scénario, ensuite. Eh bien, il est très confus, et surtout très mal amené. Pendant une grande partie de ce premier tome, on ne sait absolument pas où on va, ni dans quel but. Les scènes s’enchaînent sans donner l’air d’être véritablement liées entre elles, et lorsque l’histoire bascule enfin dans une voie plus sombre et plus intéressante, cela tombe presque comme un cheveu sur la soupe, sans qu’on comprenne véritablement ce qui se passe, et encore moins pourquoi.
Je vais tout de même laisser une chance à ce manga en lisant le tome 2, car le premier n’était peut-être qu’une simple introduction, destinée à mettre l’univers en place. À voir, donc, si la suite est meilleure.
Plusieurs personnes m’ont dit un immense bien de ce manga, mais hélas pour moi, le charme n’a pas opéré. Les dessins sont pourtant très beaux, même s’ils sont parfois un peu caricaturaux (notamment au niveau des domestiques), et si le côté victorien m’a séduite au premier coup d’œil, les anachronismes m’ont laissé perplexe. (Entre les consoles de jeux et les portables, il y a matière à se poser des questions...)
J’ai également un avis mitigé sur les personnages, et sur le scénario en lui-même. Commençons par les personnages. Si Ciel et Sebastian sont intéressants à suivre, ce n’est pas le cas des trois domestiques qui sont tout bonnement inutiles. Je suppose qu’ils sont censés être là pour le comique, mais leur degré d’incompétence est tel que je les ai vite trouvés beaucoup plus lourds que drôles.
Le scénario, ensuite. Eh bien, il est très confus, et surtout très mal amené. Pendant une grande partie de ce premier tome, on ne sait absolument pas où on va, ni dans quel but. Les scènes s’enchaînent sans donner l’air d’être véritablement liées entre elles, et lorsque l’histoire bascule enfin dans une voie plus sombre et plus intéressante, cela tombe presque comme un cheveu sur la soupe, sans qu’on comprenne véritablement ce qui se passe, et encore moins pourquoi.
Je vais tout de même laisser une chance à ce manga en lisant le tome 2, car le premier n’était peut-être qu’une simple introduction, destinée à mettre l’univers en place. À voir, donc, si la suite est meilleure.
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