Auteur : Yana Toboso
Édition : Kana
Pages : 194
Note : 2.5 / 5
Sébastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d'une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d'érudition, d'éducation, d'art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature... Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable ?!
Avis de Cyrlight
On retrouve Sebastian et Ciel dans ce second tome de Black Butler, où ils quittent le manoir Phantomhive pour Londres, dans les rues de laquelle sévit Jack l’Éventreur. Le maître et le majordome, accompagnés par de nouveaux personnages, vont mener l’enquête.
Eh bien, eh bien... Je n’avais pas beaucoup apprécié le premier tome de ce manga, et même si je dois concéder à celui-ci qu’il est un tantinet meilleur, cela ne suffit pas. Je n’accroche irrémédiablement pas à ce shonen.
Le chapitre d’ouverture est pour le moins inutile, il se contente de nous resservir exactement les mêmes gags que précédemment, avec les majordomes incompétents et surtout insupportables. C’est à se demander pourquoi Sebastian prend la peine de leur donner des instructions, sachant qu’il finit par tout faire lui-même, mais qu’il doit en plus de cela réparer leurs bêtises.
La suite bénéficie tout de même d’un scénario un peu plus solide et moins brouillon que l’intrigue mal amenée du premier tome. Les motivations des personnages sont un peu plus claires (même si les douze ans de Ciel sont souvent peu crédibles, à la vue de son caractère et de ses responsabilités) et Undertaker, l’un des nouveaux venus, n’est pas dépourvu de charisme, mais pour ce qui est des points positifs, cela ne va pas plus loin.
Le sérieux et la gravité insufflés par la traque de Jack l’Éventreur perdent une grande partie de leur crédibilité quand l’histoire vire littéralement au travestissement non pas à une, mais à deux reprises. La mangaka oscille sans cesse entre tragique et comique sans la moindre subtilité.
La fin est pourtant prometteuse, car elle préfigure un combat entre Sebastian et un adversaire enfin à sa hauteur, mais je doute de continuer. J’ai été trop déçue par les deux premiers tomes, alors que m’attendent des séries que je tiens en bien plus haute estime.
Eh bien, eh bien... Je n’avais pas beaucoup apprécié le premier tome de ce manga, et même si je dois concéder à celui-ci qu’il est un tantinet meilleur, cela ne suffit pas. Je n’accroche irrémédiablement pas à ce shonen.
Le chapitre d’ouverture est pour le moins inutile, il se contente de nous resservir exactement les mêmes gags que précédemment, avec les majordomes incompétents et surtout insupportables. C’est à se demander pourquoi Sebastian prend la peine de leur donner des instructions, sachant qu’il finit par tout faire lui-même, mais qu’il doit en plus de cela réparer leurs bêtises.
La suite bénéficie tout de même d’un scénario un peu plus solide et moins brouillon que l’intrigue mal amenée du premier tome. Les motivations des personnages sont un peu plus claires (même si les douze ans de Ciel sont souvent peu crédibles, à la vue de son caractère et de ses responsabilités) et Undertaker, l’un des nouveaux venus, n’est pas dépourvu de charisme, mais pour ce qui est des points positifs, cela ne va pas plus loin.
Le sérieux et la gravité insufflés par la traque de Jack l’Éventreur perdent une grande partie de leur crédibilité quand l’histoire vire littéralement au travestissement non pas à une, mais à deux reprises. La mangaka oscille sans cesse entre tragique et comique sans la moindre subtilité.
La fin est pourtant prometteuse, car elle préfigure un combat entre Sebastian et un adversaire enfin à sa hauteur, mais je doute de continuer. J’ai été trop déçue par les deux premiers tomes, alors que m’attendent des séries que je tiens en bien plus haute estime.
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