Auteur : Mary Elise
Édition : Auto-édition
Pages : 360
Note : -
Certaines nuits, une musique semble s'échapper du bois. Elle est secrète et mélancolique, pleine de remords et de regrets, comme les habitants de la maison qui jouxte la forêt. Le cœur alourdi par les non-dits, sauront-ils se laisser guider par cette mélodie sur le chemin de la paix ?
Depuis la mort de son mari, Viviane peine à s'entendre avec ses enfants. Elle multiplie les disputes avec Marion, l'aînée, et Thomas, le cadet, a sombré dans le mutisme. Lorsque sa demi-sœur Jessica les invite à passer l'été en sa compagnie et celle de ses fils, Viviane accepte à contrecœur. Rongés par la colère, la rancune et les dissimulations, tous vont devoir apprendre à s'apprivoiser.
Depuis la mort de son mari, Viviane peine à s'entendre avec ses enfants. Elle multiplie les disputes avec Marion, l'aînée, et Thomas, le cadet, a sombré dans le mutisme. Lorsque sa demi-sœur Jessica les invite à passer l'été en sa compagnie et celle de ses fils, Viviane accepte à contrecœur. Rongés par la colère, la rancune et les dissimulations, tous vont devoir apprendre à s'apprivoiser.
Mot de Cyrlight
Encore une chronique qui ne portera pas sur l’une de mes lectures, mais sur l’un de mes romans, puisque c’est de L’autel des âmes tourmentées dont je m’apprête à vous parler.
Si je ne qualifierai pas cette histoire de « joyeuse », je peux tout de même affirmer qu’elle est nettement moins sombre et moins dure que la plupart de mes autres œuvres. Elle est surtout plus humaine, puisque pauvre en action, elle se concentre essentiellement sur les personnages, leurs émotions et les liens qu’ils tissent entre eux.
Ils sont au nombre de six : Viviane, qui a récemment perdu son mari dans un accident de voiture ; ses enfants, Marion et Thomas ; sa demi-sœur, Jessica, dont elle a longtemps ignoré l’existence ; et les fils de cette dernière, Justin et Tristan.
Tous ont une personnalité bien distincte, de l’enjouée Jessica à la colérique Marion, en passant par le discret Thomas ou le taciturne Tristan, mais surtout, tous doivent faire face à leur lot de tourments, qui tantôt les rapprochent des uns, tantôt les isolent des autres.
Bien que ce roman ne soit pas vraiment un huis-clos, il en a des airs, puisque toute l’histoire ou presque se déroule dans une petite maison de campagne cernée par les arbres et la forêt, à l’écart de la civilisation. Les protagonistes doivent apprendre à cohabiter, et surtout à communiquer, ce qui leur pose le plus de difficulté.
Même si les thèmes abordés dans cette histoire se concentrent autour de celui de la famille, ils sont dans l’ensemble assez variés : la fraternité, le deuil, l’enfance, l’adolescence, l’amour, la trahison, la reconstruction... En bref, je dirais qu’il s’agit avant tout de gens meurtris par la vie qui s’efforcent de panser leurs plaies à leur manière, non sans commettre des erreurs.
Si vous pensez que ce livre peut vous plaire, alors n’hésitez pas à le lire et à me communiquer votre ressenti.
Si je ne qualifierai pas cette histoire de « joyeuse », je peux tout de même affirmer qu’elle est nettement moins sombre et moins dure que la plupart de mes autres œuvres. Elle est surtout plus humaine, puisque pauvre en action, elle se concentre essentiellement sur les personnages, leurs émotions et les liens qu’ils tissent entre eux.
Ils sont au nombre de six : Viviane, qui a récemment perdu son mari dans un accident de voiture ; ses enfants, Marion et Thomas ; sa demi-sœur, Jessica, dont elle a longtemps ignoré l’existence ; et les fils de cette dernière, Justin et Tristan.
Tous ont une personnalité bien distincte, de l’enjouée Jessica à la colérique Marion, en passant par le discret Thomas ou le taciturne Tristan, mais surtout, tous doivent faire face à leur lot de tourments, qui tantôt les rapprochent des uns, tantôt les isolent des autres.
Bien que ce roman ne soit pas vraiment un huis-clos, il en a des airs, puisque toute l’histoire ou presque se déroule dans une petite maison de campagne cernée par les arbres et la forêt, à l’écart de la civilisation. Les protagonistes doivent apprendre à cohabiter, et surtout à communiquer, ce qui leur pose le plus de difficulté.
Même si les thèmes abordés dans cette histoire se concentrent autour de celui de la famille, ils sont dans l’ensemble assez variés : la fraternité, le deuil, l’enfance, l’adolescence, l’amour, la trahison, la reconstruction... En bref, je dirais qu’il s’agit avant tout de gens meurtris par la vie qui s’efforcent de panser leurs plaies à leur manière, non sans commettre des erreurs.
Si vous pensez que ce livre peut vous plaire, alors n’hésitez pas à le lire et à me communiquer votre ressenti.
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