Auteur : Gosho Aoyama
Édition : Kana
Pages : 177
Note : 3.5 / 5
Conan fait sa rentrée à l'école primaire. Il résout plusieurs enquêtes : la grande fête du feu, le casse des 100 millions et la maison hantée avec les Détectives-Boys.
C'est la rencontre avec Ayumi, Genta et Mitsuhiko. C'est également, la première affaire où Conan retrouve les hommes en noir.
Avis de Cyrlight
Dans ce second tome de Détective Conan, on retrouve Shinichi Kudo sous sa nouvelle identité, celle d’un enfant de six ans, à laquelle il doit s’habituer. Cela implique notamment de multiplier les ruses pour résoudre des enquêtes sans se trahir et... retourner à l’école.
Le rire et le sang se côtoient dans ce volume. Kogoro et les condisciples de Conan offrent quelques passages légers, voire drôles, tandis qu’en parallèle, on assiste à des meurtres particulièrement sordides, ainsi qu’à leur résolution. Un équilibre appréciable, qui évite de trop plonger dans la noirceur.
Les enquêtes se suivent et ne se ressemblent pas. J’ai apprécié qu’il soit de nouveau question des « hommes en noir », même si, malheureusement, on n’en apprend pas davantage à leur sujet.
En revanche, si j’avais trouvé les déductions de Shinichi un peu trop élaborées dans le premier tome, cette fois, c’est plutôt le contraire. En effet, les affaires m’ont paru relativement faciles à élucider, et pour chacune d’elles, j’avais globalement compris le fin mot de l’histoire bien avant le protagoniste. J’ai même trouvé que tous mettaient presque trop longtemps à réagir pour la « fille éplorée ».
Je dirais pour conclure que ce manga est sympathique dans son ensemble, mais qu’il est cependant loin d’avoir la profondeur et le potentiel d’un Death Note ou d’un Moriarty. Lecture agréable donc, mais pas transcendante.
Le rire et le sang se côtoient dans ce volume. Kogoro et les condisciples de Conan offrent quelques passages légers, voire drôles, tandis qu’en parallèle, on assiste à des meurtres particulièrement sordides, ainsi qu’à leur résolution. Un équilibre appréciable, qui évite de trop plonger dans la noirceur.
Les enquêtes se suivent et ne se ressemblent pas. J’ai apprécié qu’il soit de nouveau question des « hommes en noir », même si, malheureusement, on n’en apprend pas davantage à leur sujet.
En revanche, si j’avais trouvé les déductions de Shinichi un peu trop élaborées dans le premier tome, cette fois, c’est plutôt le contraire. En effet, les affaires m’ont paru relativement faciles à élucider, et pour chacune d’elles, j’avais globalement compris le fin mot de l’histoire bien avant le protagoniste. J’ai même trouvé que tous mettaient presque trop longtemps à réagir pour la « fille éplorée ».
Je dirais pour conclure que ce manga est sympathique dans son ensemble, mais qu’il est cependant loin d’avoir la profondeur et le potentiel d’un Death Note ou d’un Moriarty. Lecture agréable donc, mais pas transcendante.
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