Auteur : Joseph Delaney
Édition : Bayard
Pages : 440
Note : 4 / 5
Après la première année de son apprentissage en tant que combattant de l'arène 13, Leif cherche des informations auprès du peuple de son défunt père. Là il en apprend plus sur l'homme, qui était le plus grand combattant de l'arène jamais vu. L'homme qui était si près de détruire le démon Hob, mais qui en a payé le prix terrible de sa vie.
Leif revient au combat avec une faim renouvelée de vengeance. Mais peut-il rester concentré sur sa formation malgré sa passion pour la fille de son maître, Kwin? Son maître l'aidera ou l'empêchera-t-il dans sa mission personnelle de vaincre Hob dans une lutte à mort ?
Leif revient au combat avec une faim renouvelée de vengeance. Mais peut-il rester concentré sur sa formation malgré sa passion pour la fille de son maître, Kwin? Son maître l'aidera ou l'empêchera-t-il dans sa mission personnelle de vaincre Hob dans une lutte à mort ?
Avis de Cyrlight
Dans ce second tome d'Arena 13, on retrouve Leif qui, après avoir passé quelque temps parmi les Genthai, le peuple de son père, est de retour à Gindeen pour reprendre l'entraînement auprès de Tyron. De grands combats se préparent à Midgard, et pas seulement dans l'Arène 13...
Si j'avais été moyennement convaincue par le premier tome, celui-ci a réussi à me séduire. Beaucoup plus sombre et violent, il a su me faire oublier ma frustration à la lecture de son prédécesseur, qui manquait de frisson à mon goût. La proie ne déçoit pas à ce niveau, bien au contraire.
En plus d'être riche en action et en effroi, ce tome l'est également en révélations avec l'arrivée d'un personnage des plus fascinants, Ada, une programmatrice de « l'ancien monde » dont l'âme a été préservée artificiellement pendant des siècles.
Assez intelligente pour avoir les moyens de détruire le terrifiant Djinn Hob, elle se fait rapidement une petite place auprès de l'écurie de Tyron, même si elle est liée avec l'un de ses concurrents, un nouveau venu du nom de Tallus. Ada dévoile non seulement un génie incroyable, mais aussi de nombreuses informations sur la Terre telle qu'elle était avant la défaite de l'espèce humaine et l'avènement des Djinns.
On retrouve évidemment aussi les personnages du premier tome, et si je doute que quiconque déplore le rôle mineur auquel est réduit Palm, il est très agréable de voir Deinon un peu plus au centre de l'intrigue. Quant à Kwin, elle m'a parue plus supportable.
En revanche, Leif continue à m'agacer. Dans le premier tome, c'était à cause de l'influence que la fille de Tyron avait sur lui, mais il apparaît désormais clairement qu'il n'a pas besoin d'elle pour que ses réactions frôlent la stupidité. Le fait qu'il accepte d'être tatoué au visage sans réfléchir aux conséquences que cela pourrait impliquer, lorsqu'il révèle brusquement (et sans raison aucune) ses origines qu'il devait pourtant garder secrètes... Et malgré cela, il déclare lui-même vouloir prouver qu'il n'est pas un tas de muscles sans cervelle. Mouais... Un peu paradoxal, à la vue de ses actes.
Malgré cela, ce tome n'en demeure pas moins excellent et, grâce à lui, j'ai enfin complètement accroché à la saga. J'attends avec impatience de lire la suite, en espérant qu'elle soit encore meilleure, si tant est que cela soit possible.
Si j'avais été moyennement convaincue par le premier tome, celui-ci a réussi à me séduire. Beaucoup plus sombre et violent, il a su me faire oublier ma frustration à la lecture de son prédécesseur, qui manquait de frisson à mon goût. La proie ne déçoit pas à ce niveau, bien au contraire.
En plus d'être riche en action et en effroi, ce tome l'est également en révélations avec l'arrivée d'un personnage des plus fascinants, Ada, une programmatrice de « l'ancien monde » dont l'âme a été préservée artificiellement pendant des siècles.
Assez intelligente pour avoir les moyens de détruire le terrifiant Djinn Hob, elle se fait rapidement une petite place auprès de l'écurie de Tyron, même si elle est liée avec l'un de ses concurrents, un nouveau venu du nom de Tallus. Ada dévoile non seulement un génie incroyable, mais aussi de nombreuses informations sur la Terre telle qu'elle était avant la défaite de l'espèce humaine et l'avènement des Djinns.
On retrouve évidemment aussi les personnages du premier tome, et si je doute que quiconque déplore le rôle mineur auquel est réduit Palm, il est très agréable de voir Deinon un peu plus au centre de l'intrigue. Quant à Kwin, elle m'a parue plus supportable.
En revanche, Leif continue à m'agacer. Dans le premier tome, c'était à cause de l'influence que la fille de Tyron avait sur lui, mais il apparaît désormais clairement qu'il n'a pas besoin d'elle pour que ses réactions frôlent la stupidité. Le fait qu'il accepte d'être tatoué au visage sans réfléchir aux conséquences que cela pourrait impliquer, lorsqu'il révèle brusquement (et sans raison aucune) ses origines qu'il devait pourtant garder secrètes... Et malgré cela, il déclare lui-même vouloir prouver qu'il n'est pas un tas de muscles sans cervelle. Mouais... Un peu paradoxal, à la vue de ses actes.
Malgré cela, ce tome n'en demeure pas moins excellent et, grâce à lui, j'ai enfin complètement accroché à la saga. J'attends avec impatience de lire la suite, en espérant qu'elle soit encore meilleure, si tant est que cela soit possible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire