Auteur : Kaiu Shirai / Posuka Demisu
Édition : Kazé
Pages : 201
Note : 4.5 / 5
L’étau se resserre autour d'Emma, Norman et Ray : Don et Gilda ont de sérieux doutes sur ce qu'ils leur ont raconté, sœur Krone continue à fouiner et la redoutable Isabella passe à l'action ! La détermination et la perspicacité des trois héros suffiront-elles pour sortir de cette situation désespérée ?!
Avis de Cyrlight
La sombre histoire d’Emma, Ray et Norman se poursuit dans le troisième tome de The Promised Neverland. Ce tome se concentre principalement sur sœur Krone, et apporte son lot de révélations, tandis que Maman, sous ses airs tranquilles, se montre plus redoutable que jamais.
Ce manga est tout bonnement excellent, et il s’améliore au fur et à mesure. Le récit s’enfonce un peu plus dans les ténèbres à chaque nouveau chapitre, et je dois reconnaître que j’ai eu plus d’une fois un nœud à l’estomac. C’est noir, glauque, et d’autant plus horrible que le mal s’oppose à la candeur d’enfants innocents.
Le jour fixé pour l’évasion se rapproche, et sœur Krone décide de tenter le tout pour le tout, privilégiant le fait de renverser Isabella à celui d’arrêter les enfants (même si elle ne serait pas mécontente de réussir d’une pierre deux coups). Grâce à elle, on en apprend davantage sur le monde extérieur, ainsi que sur « eux », même s’il est fort probable que son récit contienne des mensonges.
On en découvre aussi davantage sur le métier de Maman, et une question ne m’a pas quittée tout au long du récit. D’où viennent les enfants ? Depuis le début, ce manga m’évoque vaguement Arena 13, de Joseph Delaney, avec la « barrière » et les effroyables créatures qui se trouvent de l’autre côté, mais en l’occurrence, j’ai songé à une autre saga de cet auteur, L’Épouvanteur et ses Kobalos, qui utilisent les humaines afin de se reproduire.
Aussi affreuse soit-elle, j’adhère complètement à l’atmosphère de cette histoire, et les dernières pages annoncent des heures plus sombres encore pour les protagonistes. Le seul point négatif que j’aurais à reprocher à ce tome est que la date de livraison m’a quelque peu perdue en chemin : d’abord, elle ne bouge pas, puis elle est repoussée, puis un enfant va être livré seul... Cela m’a rendue perplexe, étant donné qu’il a été dit et répété qu’Isabella ne voulait rien changer à ses plans.
En conclusion, The Promised Neverland est vraiment un superbe manga qui nous prend aux tripes, et même s’il m’a fallu attendre le troisième tome pour en être sûre, je dirais que c’est également un coup de cœur. J’ai hâte (mais également peur, à la vue de la révélation finale) de lire la suite.
Ce manga est tout bonnement excellent, et il s’améliore au fur et à mesure. Le récit s’enfonce un peu plus dans les ténèbres à chaque nouveau chapitre, et je dois reconnaître que j’ai eu plus d’une fois un nœud à l’estomac. C’est noir, glauque, et d’autant plus horrible que le mal s’oppose à la candeur d’enfants innocents.
Le jour fixé pour l’évasion se rapproche, et sœur Krone décide de tenter le tout pour le tout, privilégiant le fait de renverser Isabella à celui d’arrêter les enfants (même si elle ne serait pas mécontente de réussir d’une pierre deux coups). Grâce à elle, on en apprend davantage sur le monde extérieur, ainsi que sur « eux », même s’il est fort probable que son récit contienne des mensonges.
On en découvre aussi davantage sur le métier de Maman, et une question ne m’a pas quittée tout au long du récit. D’où viennent les enfants ? Depuis le début, ce manga m’évoque vaguement Arena 13, de Joseph Delaney, avec la « barrière » et les effroyables créatures qui se trouvent de l’autre côté, mais en l’occurrence, j’ai songé à une autre saga de cet auteur, L’Épouvanteur et ses Kobalos, qui utilisent les humaines afin de se reproduire.
Aussi affreuse soit-elle, j’adhère complètement à l’atmosphère de cette histoire, et les dernières pages annoncent des heures plus sombres encore pour les protagonistes. Le seul point négatif que j’aurais à reprocher à ce tome est que la date de livraison m’a quelque peu perdue en chemin : d’abord, elle ne bouge pas, puis elle est repoussée, puis un enfant va être livré seul... Cela m’a rendue perplexe, étant donné qu’il a été dit et répété qu’Isabella ne voulait rien changer à ses plans.
En conclusion, The Promised Neverland est vraiment un superbe manga qui nous prend aux tripes, et même s’il m’a fallu attendre le troisième tome pour en être sûre, je dirais que c’est également un coup de cœur. J’ai hâte (mais également peur, à la vue de la révélation finale) de lire la suite.
Coup de ♥
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