Auteur : Irene Adler
Édition : Albin Michel Jeunesse
Pages : 272
Note : 4.5 / 5
Veille de Noël 1870. Sherlock Holmes, Arsène Lupin, et Irene Adler se prennent de passion pour une énigme publiée dans le Times. Sherlock ne tarde pas à découvrir que des coordonnées géographiques y sont dissimulées ! Lorsqu'un riche marchand est retrouvé mort dans le premier des lieux en question, nos trois amis comprennent vite que les coupables communiquent par l'intermédiaire du Times. Ils se rendent aussitôt à Scotland Yard pour prévenir la police mais on les congédie sans les écouter... Il ne leur reste plus qu'une chose à faire : mener l'enquête eux-mêmes ! Mais, après tout, n'est-ce pas ce qu'ils font de mieux ?
Avis de Cyrlight
Dans ce troisième tome de Sherlock, Lupin & moi, L’énigme de la rose écarlate, le trio se réunit une fois de plus pour mener l’enquête, intrigués cette fois-ci par un mystérieux problème d’échecs qui sera résolu par Sherlock Holmes, entraînant ses amis Arsène Lupin et Irene Adler sur la piste d’un meurtrier et d’une affaire vieille de plusieurs décennies.
Déjà conquise par les deux premiers romans, celui-ci ne m’a absolument pas déçue. Les enquêtes se suivent mais ne se ressemblent pas, car nous n’avons absolument pas l’impression d’assister à un schéma préconçu et répété de tome en tome. Qui plus est, l’intrigue générale semble se resserrer elle aussi, celle qui tourne autour des origines d’Irene, comme le laisse penser les dernières pages. Les réponses ne sont sûrement plus très loin.
Les personnages sont toujours aussi agréables, qu’il s’agisse du trio principal ou de M. Nelson, le majordome dévoué d’Irene. Un nouveau venu fait également son apparition dans L’énigme de la rose écarlate, le détective Field, dont le jeune collaborateur ne peut qu’intriguer. Même s’il est seulement nommé en toute fin de livre, on ne peut qu’espérer qu’il se manifeste un jour « en chair et en os » dans une prochaine histoire.
Il n’y a que deux points qui m’ont laissé une sensation légèrement négative, c’est l’arrivée presque miraculeuse de Lupin (parce qu’après tout, le titre n’aurait pas lieu d’être sans lui) et la réaction offusquée d’Irene quand il raconte le mauvais tour qu’il a joué et qui lui a valu de gagner assez d’argent pour fuguer jusqu’en Angleterre. Après toutes les frasques qu’ils ont déjà commises ensemble, la façon dont Irene est choquée paraît quelque peu exagérée.
Cela mis à part, ce tome est, à l’instar des deux précédents, absolument excellent. J’ai particulièrement apprécié la touche de réalisme lorsque le trio se présente à Scotland Yard et qui nous rappelle que, en dépit de leur intelligence, ils n’en sont pas moins des enfants, et que les enfants sont rarement pris au sérieux, même par des gens qui auraient mieux fait de les écouter.
Un bilan plus que positif, donc, pour L’énigme de la rose écarlate, mais surtout pour la saga en elle-même. Je n’ai qu’une hâte, avoir le quatrième tome entre les mains pour poursuivre les aventures de Sherlock, Lupin et Irene Adler.
Déjà conquise par les deux premiers romans, celui-ci ne m’a absolument pas déçue. Les enquêtes se suivent mais ne se ressemblent pas, car nous n’avons absolument pas l’impression d’assister à un schéma préconçu et répété de tome en tome. Qui plus est, l’intrigue générale semble se resserrer elle aussi, celle qui tourne autour des origines d’Irene, comme le laisse penser les dernières pages. Les réponses ne sont sûrement plus très loin.
Les personnages sont toujours aussi agréables, qu’il s’agisse du trio principal ou de M. Nelson, le majordome dévoué d’Irene. Un nouveau venu fait également son apparition dans L’énigme de la rose écarlate, le détective Field, dont le jeune collaborateur ne peut qu’intriguer. Même s’il est seulement nommé en toute fin de livre, on ne peut qu’espérer qu’il se manifeste un jour « en chair et en os » dans une prochaine histoire.
Il n’y a que deux points qui m’ont laissé une sensation légèrement négative, c’est l’arrivée presque miraculeuse de Lupin (parce qu’après tout, le titre n’aurait pas lieu d’être sans lui) et la réaction offusquée d’Irene quand il raconte le mauvais tour qu’il a joué et qui lui a valu de gagner assez d’argent pour fuguer jusqu’en Angleterre. Après toutes les frasques qu’ils ont déjà commises ensemble, la façon dont Irene est choquée paraît quelque peu exagérée.
Cela mis à part, ce tome est, à l’instar des deux précédents, absolument excellent. J’ai particulièrement apprécié la touche de réalisme lorsque le trio se présente à Scotland Yard et qui nous rappelle que, en dépit de leur intelligence, ils n’en sont pas moins des enfants, et que les enfants sont rarement pris au sérieux, même par des gens qui auraient mieux fait de les écouter.
Un bilan plus que positif, donc, pour L’énigme de la rose écarlate, mais surtout pour la saga en elle-même. Je n’ai qu’une hâte, avoir le quatrième tome entre les mains pour poursuivre les aventures de Sherlock, Lupin et Irene Adler.
Coup de ♥
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