Auteur : Makoto Morishita
Édition : Ki-oon
Pages : 192
Note : 3 / 5
Depuis qu’elle est toute petite, Hinome n’a aucun ami. À l’école, on la dit maudite… Et pour cause : chaque son qui sort de sa bouche se transforme en flamme mortelle ! Alors qu’elle rentre comme d’habitude chez elle sans avoir parlé à qui que ce soit de la journée, elle tombe sur un étrange garçon en pleine cavale dans les rues de Tokyo. Elle lui propose de l’héberger, avant de découvrir qu’elle a devant elle rien de moins qu’Imhotep, le plus grand prêtre-sorcier de l’Égypte ancienne ! Malgré ses airs d’adolescent, il cache d’immenses pouvoirs… si grands qu’il s’est attiré la colère des dieux. Considéré comme le pire criminel de tous les temps, il a été condamné à un sommeil artificiel… Mais 3 000 ans plus tard, le monde est de nouveau menacé par les Magai, des démons maléfiques, et les geôliers d’Im n’ont d’autre solution que de faire appel à lui pour régler le problème. Imhotep, qui voue une haine profonde à ces créatures, ne se fait pas prier pour les éliminer… en commençant par celle qui avait pris possession du corps de Hinome ! Réunis par le destin, Im et la jeune fille se lancent dans un combat sans pitié, avec pour le mage une chance de trouver la rédemption au bout du chemin…
Avis de Cyrlight
Im : Great priest Imhotep est un manga ayant pour personnage principal, comme son nom l’indique, le légendaire prêtre égyptien Imhotep, fraîchement ramené à la vie pour affronter les Magai, de redoutables démons qu’il doit combattre à l’aide de ses pouvoirs surpuissants dans le Japon contemporain.
Eh bien, pour être franche, je m’attendais à beaucoup mieux. J’ai toujours été captivée par l’Égypte et ses mystères, or je n’ai quasiment rien retrouvé de tout cela dans ce manga. Il y a quelques références (les hiéroglyphes dans la chambre, la mention/présence de certains dieux...), mais ça ne va pas plus loin.
Qui plus est, cette histoire se lit avec un sentiment de déjà vu : une héroïne avec une belle plastique, un personnage avec de puissants pouvoirs chargé d’affronter des entités maléfiques dont il triomphe en quatre secondes, Anubis réduit au rang d’animal de compagnie choupi et rigolo (et un poil obsédé)...
Au final, la série se concentre plus sur le comique, avec le père loufoque d’Hinome, la cohabitation forcée entre elle et Im, les maladresses répétées d’Anubis..., et non sur les scènes d’action, trop courtes et trop confuses.
Difficile d’avoir un avis catégorique, étant donné que ce n’est que le premier tome, mais pour le moment, je ne suis pas particulièrement séduite. Je verrai si cela s’améliore avec la suite.
Eh bien, pour être franche, je m’attendais à beaucoup mieux. J’ai toujours été captivée par l’Égypte et ses mystères, or je n’ai quasiment rien retrouvé de tout cela dans ce manga. Il y a quelques références (les hiéroglyphes dans la chambre, la mention/présence de certains dieux...), mais ça ne va pas plus loin.
Qui plus est, cette histoire se lit avec un sentiment de déjà vu : une héroïne avec une belle plastique, un personnage avec de puissants pouvoirs chargé d’affronter des entités maléfiques dont il triomphe en quatre secondes, Anubis réduit au rang d’animal de compagnie choupi et rigolo (et un poil obsédé)...
Au final, la série se concentre plus sur le comique, avec le père loufoque d’Hinome, la cohabitation forcée entre elle et Im, les maladresses répétées d’Anubis..., et non sur les scènes d’action, trop courtes et trop confuses.
Difficile d’avoir un avis catégorique, étant donné que ce n’est que le premier tome, mais pour le moment, je ne suis pas particulièrement séduite. Je verrai si cela s’améliore avec la suite.
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