Auteur : Pierdomenico Baccalario
Édition : Bayard Jeunesse
Pages : 410
Note : 3 / 5
Tous les cent ans, l'humanité est mise à l'épreuve. Tous les cent ans quatre adolescents doivent relever le défi. Les nouveaux élus viennent d'être choisis. L'aventure continue à New York, la ville de la Terre.
Avis de Cyrlight
Second tome de Century, on retrouve dans L’Étoile de pierre le quatuor composé de Harvey, Elettra, Mistral et Sheng. Cette fois-ci, c’est à New York que l’histoire se déroule, où un nouvel ennemi, une nouvelle toupie et surtout de nouveaux mystères font leur apparition.
Je n’ai jamais caché mon admiration pour Pierdomenico Baccalario et ses histoires incroyables, pourtant je dois dire que j’ai été un peu déçue par ce roman. Bien qu’un trimestre à peine se soit écoulé entre ma lecture du premier tome et celle du second, je me suis vite sentie perdue.
Il faut dire que L’Anneau de feu était très riche en questions et en action, si bien que qu’un petit rappel au fur et à mesure n’aurait pas été du luxe. J’avais beau me souvenir de la majeure partie de l’histoire, les détails se brouillaient dans ma tête. Par exemple, je n’avais aucun souvenir du deuil de la famille Harvey (au point que j’en suis arrivée à me demander si cela avait été évoqué dans le premier tome), alors que c’est un élément essentiel de L’Étoile de pierre.
En effet, après Elettra, c’est autour du jeune homme d’être au centre de l’intrigue. Une fois encore, elle est chargée de mystères, même si elle nous apporte quelques éléments de réponses, notamment à propos du professeur, mais aussi en péripéties. Un peu trop, d’ailleurs, car j’ai vraiment eu du mal à suivre, par moments.
J’ai aussi été un peu dépitée par l’aspect que prennent les pouvoirs des adolescents. Je m’attendais à ce qu’ils finissent par développer des capacités en lien avec les éléments, mais finalement, leurs dons demeurent relativement limités.
Des binômes se démarquent au sein du quatuor, avec d’un côté Mistral et Sheng, et de l’autre Elettra et Harvey, une cassure accentuée par la romance (passablement inutile) qui débute entre eux. Les personnages sont assez fades et seul Ermette tire un peu son épingle du jeu, ne manquant jamais une occasion de faire sourire le lecteur à chacune de ses apparitions.
Petite déception donc que ce second tome de Century, mais comme l’histoire est tout de même haletante et qu’il reste encore de nombreuses questions en suspens, il ne fait aucun doute que je me lancerai prochainement dans la lecture de la suite.
Je n’ai jamais caché mon admiration pour Pierdomenico Baccalario et ses histoires incroyables, pourtant je dois dire que j’ai été un peu déçue par ce roman. Bien qu’un trimestre à peine se soit écoulé entre ma lecture du premier tome et celle du second, je me suis vite sentie perdue.
Il faut dire que L’Anneau de feu était très riche en questions et en action, si bien que qu’un petit rappel au fur et à mesure n’aurait pas été du luxe. J’avais beau me souvenir de la majeure partie de l’histoire, les détails se brouillaient dans ma tête. Par exemple, je n’avais aucun souvenir du deuil de la famille Harvey (au point que j’en suis arrivée à me demander si cela avait été évoqué dans le premier tome), alors que c’est un élément essentiel de L’Étoile de pierre.
En effet, après Elettra, c’est autour du jeune homme d’être au centre de l’intrigue. Une fois encore, elle est chargée de mystères, même si elle nous apporte quelques éléments de réponses, notamment à propos du professeur, mais aussi en péripéties. Un peu trop, d’ailleurs, car j’ai vraiment eu du mal à suivre, par moments.
J’ai aussi été un peu dépitée par l’aspect que prennent les pouvoirs des adolescents. Je m’attendais à ce qu’ils finissent par développer des capacités en lien avec les éléments, mais finalement, leurs dons demeurent relativement limités.
Des binômes se démarquent au sein du quatuor, avec d’un côté Mistral et Sheng, et de l’autre Elettra et Harvey, une cassure accentuée par la romance (passablement inutile) qui débute entre eux. Les personnages sont assez fades et seul Ermette tire un peu son épingle du jeu, ne manquant jamais une occasion de faire sourire le lecteur à chacune de ses apparitions.
Petite déception donc que ce second tome de Century, mais comme l’histoire est tout de même haletante et qu’il reste encore de nombreuses questions en suspens, il ne fait aucun doute que je me lancerai prochainement dans la lecture de la suite.
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